Pas envie de poster

Publié le par Luciiole

Parce que je n'ai pas envie de prendre le temps de faire quelque chose d'exhaustif. Alors je sais, ce n'est pas l'idée, on s'en fiche, mais je n'ai pas envie non plus de poster juste histoire de.

Genre, j'ai bien quelques photos à vous montrer, mais même ça, je suis pas dans le mouv' pour le faire.

Par contre je mets à jour le calendrier :
http://lulendar.over-blog.org

C'est pas pareil, mais c'est déjà ça. ^^

Je veux lire. Me baigner, préparer un bon repas, revoir Nouch', trouver réellement un boulot et pas que des idées de boulot même si c'est déjà fun, je voudrai ne pas partir à Cuisery, mais ça va se passer, être déjà à fin juillet, voir Seï, je souris de lire que je veux voir tant de monde tout en l'écrivant. Je vois l'îcone de la fenêtre de Seï toute orangée, j'aime bien ne pas lire tout de suite, juste profiter qu'elle se reteinte souvent. Muse, c'est bien. Il fait trop chaud, mais je vais bientôt migrer sur le balcon et là bas ça va mieux. Les chevaux sont cuits, mais ils sont trop forts, je les adore vraiment. Naïtika est trop classe, j'aimerai vraiment l'essayer en saut. Mais elle est assez occupée à tenter de garder ses cavaliers sur le dos à la réception pour que je lui demande du travail en plus. Muse, c'est bien. L'été aussi. Ma pile de livres à lire est remontée, c'est cool, merci Amazon. Et encore, elle ne sera en danger qu'après lecture des livres de la bibli ^^ Il faut lire Jean Anouilh. Demain s'annonce éreintant, comme journée, mais je vais encore bronzer des bras. Et me tremper totalement de façon tout à fait intentionnée en arrosant les carrières. J'ai fait passer des galops 4 à 6 en dressage, obstacle et cross, avec protocoles et tout. Je ne pense pas avoir été aussi sévère qu'il aurait fallu, et je m'en fiche, j'aime pas être sévère. On peut être Vraiment bien avec quelqu'un en sachant ne pas lui être indispensable. Je ne l'aurait pas cru, mais ça tombe bien. Je ne pourrai jamais écrire tout ce que je pense en instantanné, même en essayant de penser doucement. Les milliers de pensées qui ne font qu'apporter leurs échos aux principales que je peux entendre l'empêchent, de toute façon. Là... Je pense de façon très générale qu'on a tord de tant s'inquiéter pour nos vies, tellement toutes les autres vies sont hallucinantes de prodiges. Elle est pas nouvelle, cette pensée. J'aime bien avoir des pensée banales et que pendant ce temps mon chéri s'éclate à apprendre à faire des ombres compliquées XD. Ca me fait plaisir de savoir supporter les choses. Il m'arrive de dire... d'écrire l'inverse, mais dans l'idée c'est quand même une capacité fort pratique. Je crois que l'une des raisons qui nous pousse à renier les modes, à éviter les instincts grégaires, et autres, je parle pour moi et quelques que je connais, c'est juste des tentatives pour apprendre à déranger. Mais ce comportement n'existe que parce que j'en suis moins capable que les autres. Je cherche toujours à l'inverse, m'adapter, me réajuster comme dit Aston, pour ne pas gêner, me fondre dans le paysage alors que c'est justement ce qui revient comme problème, le fait que j'y arrive si bien que je ne peux plus faire autre chose. Les libertés que je prends avec les risques, avec les interdictions et avec les conventions de pensées, c'est seulement histoire de trouver là une démarquation qui ne gênera personne, mais qui gênera un certain sens commun, histoire de me voir sortir de la toile de fond un rien.  Et là ça commence à être chiant, alors j'arrête. C'est juste qu'on cherche toujours à mieux être bien, même quand on est Vraiment bien dans ses pieds nus. Je pourrai aérer ce texte, mais j'étais partie dans l'idée inverse, de le laisser en bloc, et j'ai pas envie de contrarier l'idée. Je n'acheterai pas Chim, je pense. Parce que je suis Vraiment bien avec elle aussi, mais elle ne m'est pas indispensable. Qu'est-ce qui l'est ? L'ensemble de ma vie, je crois. J'ai peur d'avouer plus en détail, parce que ma vie pourrait arrêter de me sur-gâter, pas pour me punir de mon excès de confiance mais parce que c'est comme ça, ça se voit partout, les impulsion terribles et foudroyantes dans lesquelles elle perd les gens... Je ne parle pas de ce malheur là, ni de ces soucis mineurs. Je parle de ce malheur là, et de ces effondrements. Parce que tout ce qui a du sens n'en a que relativement à une façon d'être à cet instant précis. Et non, bien sûr qu'on ne peut pas réellement penser toujours à ça et qu'on doit les faire quand même, tous les projets. Il faut s'attacher sentimentalement à ce qui nous sera enlevé, pour ne pas en avoir sinistrement rien à fiche quand ça se produira. Bon, ça ne ressemble plus à rien tout ça, désolée. Mais c'est toujours dans l'idée de suivre le flot de pensées et vous voyez où il va zoner quand je commence à ne plus lui opposer aucun pragmatisme ^^ Ptêtre un jour je l'arrêterai bien plus tôt chaque fois, ptêtre que je regarderai l'inutile au loin et sourirai en souvenir de quand j'y passais des heures. J'ai envie de lire, d'avoir moins chaud, de manger de la glace, de revivre des moments géniaux, mais on ne revit rien. On vit.
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